Glabriplex

La racine de réglisse (Glycyrrhiza glabra), espèces légumineuses, est consommée depuis plus de quatre mille ans. Déjà dans l'Égypte ancienne, elle constituait l'un des végétaux les plus utilisés dans les aliments et dans les médecines traditionnelles, tant orientales qu'occidentales.

La racine de réglisse contient plus de quatre-vingts polyphénols bioactifs dont la glabridine est le principal flavonoïde polyphénolique spécifique.

Ce principe actif a une activité antioxydante, oestrogénique, antinéphrétique et destructrice des radicaux libres. Elle inhiberait également l'activité de l'Helicobacter pylori, cette bactérie qui se développe au niveau de l’estomac en cas d’ulcère et qui favoriserait le développement de cancer de l’œsophage. Elle favorise la réabsorption de la sérotonine, la synthèse de la mélanine et diminue l'inflammation. 

Des études cliniques très sérieuses ont démontré que la glabridine, un flavonoïde abondant dans la racine de réglisse (Glycyrrhiza glabra L.) diminue efficacement la graisse viscérale abdominale. Grâce à ses puissantes propriétés antioxydantes, la glabridine possède également la capacité d'abaisser la glycémie.

Et un autre point essentiel, tout en accroissant l'activité des enzymes hépatiques responsables de la dégradation des tissus adipeux, la glabridine influence à la baisse la synthèse des graisses.

L'ingestion d'un extrait concentré de Glycyrrhiza glabra améliore l'activité enzymatique qui permet de « brûler » les graisses, elle diminue la synthèse des graisses dans le foie, et agit même semble-t-il sur l'expression génique de ces cellules lipidiques. Elle influerait l’activité des gènes qui contrôlent les mécanismes de stockage des graisses, cette influence positive sur le métabolisme des lipides diminuerait l'accumulation des graisses viscérales.

L'excès de graisse abdominale est non seulement inesthétique, mais peut également être le signe d'un léger dysfonctionnement métabolique qui augmente le risque de maladie cardio-vasculaire, d'accident vasculaire cérébral de diabète. Ce sont deux raisons largement suffisantes pour tenter de réduire cette graisse abdominale ou viscérale. 

La glabridine est un des flavonoïdes extraits de la racine de réglisse (Glycyrrhiza glabra) qui semble être une aide réellement efficace pour y parvenir.

L'obésité viscérale est le reflet direct d’un métabolisme dont la glycémie est mal contrôlée. Ce phénomène est souvent engendré par un dysfonctionnement de l’insuline, dysfonctionnement qui conduit presque inévitablement à l'hyperglycémie, à une hypertension et à un profil lipidique sanguin anormal (excès de cholestérol, de triglycérides).

De nombreuses personnes de plus de quarante ans présentent des risques accrus proportionnels au développement et à la progression du syndrome métabolique. Ce syndrome métabolique résulte d’un déséquilibre du métabolisme d’assimilation et de stockage des lipides ce qui augmente de manière significative les risques d'athérosclérose surtout au niveau des artères coronaires, les risques d'infarctus, de diabète de type II, avec les complications circulatoires et vasculaires périphériques que l’on connaît et de ce fait les accidents vasculaires cérébraux.

Il semble que les graisses abdominales ou viscérales soient de 2 types différents, car elles résultent de fonctionnements métaboliques différents. Chacun d'eux transporte les lipides dans des zones différentes. Il y a tout d’abord la graisse sous-cutanée qui s'accumule en dessous de la peau, elle est bien sûr inesthétique, mais elle n'est pas dangereuse. Par contre, la graisse viscérale, plus profonde située dans l'abdomen sous les abdominaux semble constituer " une véritable bombe à retardement ". Cette graisse située sous les muscles entoure les organes vitaux et entrave certains processus physiologiques. Ainsi, son accumulation progressive est une des causes principales d'insulino-résistance, cette perturbation métabolique qui à son tour ce syndrome, car les cellules de la graisse viscérale sont loin d’être inactives. Bien au contraire, ces cellules métaboliquement actives produisent un large échantillon d'hormones peptidiques, comme l'angiotensine ou encore des cytokines inflammatoires, comme la protéine réactive-C ou l'interleukine-6 (IL-6) qui comme toute hormone agit à distance sur d'autres cellules pour produire l'inflammation et l'angiotensine, comme médiateur chimique ou comme un peptide de signalisation qui peut provoquer l’élévation de la pression sanguine en constrictant les vaisseaux sanguins périphériques. Une augmentation, même modérée, de la graisse viscérale peut produire une inflammation mesurable des cellules tapissant les parois des vaisseaux sanguins. 

Glabriplex est un extrait huileux breveté racine de réglisse, standardisé de polyphénols et est très concentré en glabridine.

Des études ont montré son activité bénéfique sur la graisse viscérale abdominale.

Des études ont été réalisées sur des rats obèses et des souris diabétiques alimentés avec une nourriture riche en graisse supplémentée avec de l'extrait de Glycyrrhiza. Les résultats ont montré que l'ajout de l'extrait de racine de réglisse à l’alimentation diminue de façon significative le poids du tissu adipeux abdominal, tout en abaissant les taux de triglycérides hépatiques et sériques, ainsi qu’une diminution de la glycémie et une prise de poids corporel moindre pour les souris diabétiques.

Des études sur l'homme ont donné des résultats similaires. Dans un essai randomisé en double aveugle contrôlé contre placebo, 103 sujets en surpoids ont été supplémentés avec 900 mg quotidiens d'extrait de racine de réglisse pendant douze semaines. Les résultats indiquent une différence significative dans les modifications du poids corporel et de l'index de poids corporel entre le groupe supplémenté et celui sous placebo. De plus, les chercheurs ont observé que l'effet réducteur de poids de l'extrait de Glycyrrhiza était plus spécifiquement dû à une diminution de la graisse corporelle.

Une autre étude de huit semaines, contrôlée contre placebo, a été conçue pour déterminer la dose efficace de flavonoïdes d'huile de racine de réglisse. Les dosages de 300, 600 et 900 mg quotidiens ont été testés sur des sujets en surpoids (56 hommes et 28 femmes). C’est dans le groupe ayant pris la dose de 900 mg que la diminution la plus significative du poids corporel, de l'index de masse corporelle et de la masse grasse a été observée, et ce, après quatre et six semaines d'ingestion. 

Conseils d'utilisation du GLABRIPLEX® :  3 gélules durant le repas du soir durant minimum 2 à 3 mois afin de pouvoir constater si l'on répond au produit. Pour information, les enzymes hépatiques étant + actives la nuit, de même que le stockage des lipides est plus important durant la nuit également.

Composition du GLABRIPLEX® :  une capsule contient : Huile extraite de racine de Glycyrrhiza glabra (Réglisse) 110 mg – Huile végétale de palme (Triglycérides à chaînes moyennes) 205 mg – Amidon alimentaire modifié de maïs 91 mg – Glycérol végétal 71 mg – Cire d'abeille (épaississant) 35 mg – Carraghénane 29 mg – Excipient : Phosphate disodique 3 mg – Total de la gélule : 739 mg.

N.B. Pour information, notre produit ne présente aucun effet secondaire, ni aucune contre-indication et peut être absorbé même en cas d’hypertension puisqu’il est déglycyrrhiziné, c'est-à-dire qu’on en a extrait la glycyrrhizine, principe actif responsable d’éventuelles poussées d’hypertension.

Petite mise au point au sujet de l’huile de palme (contenue dans nos capsules) 

Le principe actif du GLABRIPLEX®, la glabridine est sensible à l’oxydation et plus efficace en milieu lipidique, c’est pourquoi notre fabricant a choisi d’allier la glabridine à l’huile de palme. Cette huile tant décriée dans nos contrées constitue pourtant un ingrédient culinaire traditionnel important en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie, où les populations présentent très peu de problèmes cardio-vasculaires contrairement aux nôtres. De couleur orangée à rouge, elle contient énormément de caroténoïdes [forte teneur en β-carotène (vitamine A) et en vitamine E], et elle est citée parmi les huiles les plus antioxydantes. Naturellement hydrogénée, elle est très digeste grâce à sa structure chimique et agit sur le métabolisme de stockage des graisses et des sucres. C’est le processus d’hydrogénation industrielle par chauffage intense qui la rend néfaste à la santé. Comme de nombreuses huiles végétales, l’huile de palme est donc bénéfique tant qu’elle est extraite à froid et qu’elle n’a subi aucune transformation chimique, ce qui est évidemment le cas de l’huile de palme utilisée par notre fournisseur et contenue dans notre produit.